Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (36)

Sur la plage sans le faire exprès Odile, renverse Chantal, une jeune Parisienne qui est en vacances avec son mari Adrien.
Mes deux belles garces sous couvert d’enlever le sel après la baignade les dénudent, les entraînent à faire l’amour entre mari et femme et finissent par les sucer les faisant glisser sur une pente amenant au libertinage.
Après ce bon moment et une bonne douche, les filles les essuient.
Avant qu’ils aient le temps de réagir, ils les entraînent nues vers le bas.
Lorsqu’ils arrivent sur la terrasse, tout le monde est la même Anne. Tous sont nus comme à leurs habitudes.
Est-ce qu’ils ont subi à l’étage ou la vitesse ou les filles les ont entraînés dans la luxure, ils regardent sans réagir ?
Odile s’approche de Chantal, lui donne un baisée au coin de ses lèvres.

• Ça va.

Elle la regarde.

• Ça surprend, mais qu’est-ce que c’est bon.

Chantal lui prend carrément la bouche et lui renvoie son baiser.
Pendant ce temps, Anne et Aline se sont approchés d’Adrien qui s’est allongé sur un transat.
Je vois qu’elle discute avec.
Je m’approche. Les petites garces lui demandent ce qu’il a pensé de ce qui leur est arrivé alors qu’elles ignorent ce qui s’est passé, mais connaissant nos copines et le fait qu’ils soient redescendus nus se doute que la rousse et la noire se soient occupé de leur faire voir comment dans cette villa, tous sont solidaires surtout sexuellement.

• Vous savez si Marie-Ange et Véronique avaient voulu se faire baiser, directement nous serions certainement partis en courant.
Le faite de me faire prendre ma femme a entraîné une réaction positive de notre couple, je pense que nous étions arrivés au fil des années à aspirer à avoir du nouveau piment pour réveiller notre libido sommeillante.
Les filles ont été les catalyseurs de nos envies.

Les deux petites viennent se coller à lui, il en prend une dans chaque bras et les câlines.

Je vois qu’elles aiment ça.
Alain pendant ce temps travailleur émérite s’est occupé de faire cuire les saucisses.
Lui est nu avec pour seule concession, un tablier pour protéger ses bijoux de famille devant les risques dus aux flammes.
Pendant que Véronique et Marie-Ange s’occupaient de nos invités, nous nous sommes tous relayés dans la salle de bain disponible et la douche des trois filles.
Alors que nous sommes à table, nos amis nous demandent ce que nous faisons le reste de l’année,
Virginie leur explique qu’elles gèrent un institut de beauté et que toutes travaillent avec elle à l’exception de Madeleine qui entretient le pavillon qu’elle possède à Chennevières et où ils sont cordialement invités à venir dès leur retour à Paris.
Adrien mutin s’adresse à Alain.

• Toi aussi tu travailles avec les filles.
• Tu veux ma mort, ça suffit de certains moments dans l’année et des vacances.
Non, je suis ingénieur dans une très grande entreprise et je fais partie d’une équipe qui crée des moteurs d’avions.

Le repas terminé, je leur demande de rapidement débarrasser et tous ranger et d’aller s’habiller.

• Je vous emmène tous goûter la spécialité locale de Saint-Palais sur mer dès que nous sommes prêts.

Nous retournons vers le centre-ville en passant par la promenade.
Sur la route principale, une boutique est éclairée avec du monde qui attend.
Nous sommes devant la confiserie de la famille Sposita.

• Vous allez voir, le confiseur travaille le sucre chaud, qu’il fait couler sur un marbre, ajoute des saveurs suivant le parfum qu’il désire fabriquer.
Pour ceux qui aiment le parfum en cours, il est à la banane et la suivante à la fraise.
Regardé il commence à travailler cette pâte. Il la tourne la retourne afin d’effiler le sucre en formant des huit sur le croc devant lui.
Il incorpore, le morceau qu’il a coupé qui commence à faire des nervures plus claires ou plus foncées.

Il saisit la pâte et par un tour de main qui lui est propre, il lance littéralement le sucre sur le croc. Par son poids, il coule vers le bas. Chaque fois, le confiseur le ratt et le relance pendant plusieurs minutes.
La préparation est prête, il la replace sur le marbre l’allonge. Puis la roule pour en faire un boudin de deux centimètres de diamètre.
Avec un gros ciseau, il coupe ce boudin en petit bout.
Ses assistances s’en saisis et avec la paume de la main les façonnent en forme de sucette. Elles ajoutent un bâton. Les sucettes chaudes spécialité de Saint-Palais sont prêtes à être vendues.

Nous laissons passer les premiers arrivés.

• Si vous aimez, la banane servez-vous, c’est moi qui offre, si ce goût vous déplait, vous pouvez trouver les sucettes de la tournée d’avant ou attendre celle d’après à la fraise.
Avant elles étaient au Coca-cola.

Chacun et chacune font leur choix.
J’en achète une froide pour Sindy demain.
Le jeu des sucettes chaudes commence.
Certains les tournent en tire-bouchon.
D’autres les plis et les redressent.
Le plus drôle, c’est ce qui arrive à ceux qui portent un dentier.
Neuf fois sur dix, le sucre chaud colle dessus et la personne se retrouve avec ses dents au bout de sa sucette.
Nous reprenons le chemin. Quand nous passons devant Nausicana, Michelle la patronne en sort avec un plateau chargé de crème glacée.

• Vous pouvez me réserver une table pour onze personnes dimanche midi sur la promenade le long de la plage.
• Aucun problème tout sera prêt vers treize heures.

Nous retrouvons la maison, certains sortent sur la terrasse prendre une boisson fraîche, d’autres prennent la direction des chambres. Anne, Aline et Madeleine, montent, car demain il faut préparer le petit déjeuner. Anne tient à récupérer Sindy pas trop tard.
Adrien et Chantal veulent se retirer dans leur camping-car.
Je prends l’initiative.


• Que nenni, il nous reste une chambre, vous pouvez l’occuper et rester près de nous.

Nous montons vers nos pénates.
Même si je veux éviter d’écouter, j’entends, Véroniques et Marie-Ange qui ont l’air d’avoir trouvé des complices du côté d’Alain et Odile.
De notre côté, je donne des brosses à dents neuves à nos invités.
Chantal est nue et se prépare à prendre une douche. Je jette mes vêtements et la rejoins sous les jets.
J’att le gel et commence à la savonner, elle en fait de même. Arrivée à hauteur de nos sexes, elle hésite.
On me connaît, sans hésiter je fais pénétrer deux doigts dans son intimité. Mes doigts s’agitent de plus en plus vite. Elle se cambre amenant son sexe en avant.
Puis d’un coup elle prend un plaisir qui la foudroie de la tête aux pieds.
L’orgasme a été si intense qu’il faut que je la soutienne pour éviter qu’elle tombe.
Je l’essuie et l’entraîne vers son lit.
Dans la chambre, je m’attendais à tout mais pas au spectacle que je trouve. Virginie est là allongée sur le lit.
Elle suce la bite d’Adrien qui a l’air d’apprécier. Sa tige est en l’air.

• Vous vous amusiez si bien toutes les deux que, lorsque je suis venue me laver les dents, j’ai évité de faire du bruit vous laissant à vos turpitudes.
J’ai pensé à ce pauvre homme seul pendant que son épouse s’envoyait en l’air dans la salle de bain.
Avais-je le cœur à le laisser seul ?
• Tu as raison Virginie ma biche, suce-le aussi bien que je viens de me faire enfiler les doigts par notre amie.

Virginie replonge sur le membre.
Cette nouvelle bouche, qui le gobe, le fait partir dans moins de temps qu’il n'en faut.
Bien fatigués, nous tombons sur le lit et nous endormons repus de soleil, de mer et de surtout de sexe.

Quand je me réveille le matin, tous dorment dans la chambre.
Je la quitte discrètement et comme hier, quand je passe devant la chambre d’Odile et Alain, ce dernier bourre Madeleine qui les cuisses bien écartées semble apprécier les assauts du mâle.

Odile est assise et tient la petite plaquée sur elle. Elle lui caresse ses seins magnifiques qui ont l’air d’aimer ce traitement, les mamelons se dressent fièrement.
Moi qui me croyais insatiable, le couple montre des dispositions pour l’amour libre hors de proportion normal.
Madeleine me voit.

• J’arrive. Ces grands malades m’ont attrapé alors que je descendais faire couler le café.
• Prends ton temps ma grande, quand on se fait baiser par un étalon comme Alain, il faut l’honorer en lui laisser prendre tranquillement son plaisir.

Arrivez au rez-de-chaussée, je trouve les deux sœurs préparant la collation du matin.

• Christine, il faut que je me plaigne.
• Qu’est-ce qui t’arrive ?
• Madeleine est passée avant moi devant la chambre de nos amis et m’a pris ma place.

Elle part dans un grand rire.
Nous déjeunons et je remonte me préparer.
Notre chambre est vide. Je passe à coter, ils sont là tous les trois.
Chantal et Virginie sont placées en levrette et Adrien les honore l’une après l’autre.
Et allez encore des gens qui baisent et ils y prennent leurs plaisirs.
Je me douche vite rejoint par Chantal.

• Tu sais lorsque nous avons accepté votre invitation, j’étais loin de penser vivre le tourbillon que vous avez démarré en nous.
Sans, nous rendre compte, nous entions entrés dans une routine de couple. Il est loin le temps où Christian me baissait deux à trois fois par jour. Il me prenait partout où nous étions. Il m’a même baisé dans un compartiment d’un train où nous étions seuls avec le risque qu’à tout moment quelqu’un entre.
Et puis nous avons eu nos s, nous sommes devenus des parents et avons oublié notre corps sauf une petite baise sans faire de bruit de temps en temps.
Nous retenons la leçon et j’espère que, lorsque nous serons de retour à Montreuil, vous continuerez à nous aider à passer des moments intenses.

Un téléphone sonne, c’est celui d’Adrien, il le récupère et décroche. Il écoute et dit en cachant le micro.

• C’est Christian et Fabienne, ils viennent de partir de Montreuil pour la côte et espèrent nous rejoindre avec leur camping-car.
Qu’est-ce que je réponds ?

Chantal va pour répondre.

• Dit leurs de venir, deux de plus ou de moins, on assumera.

Chantal acquiesce.

• Donne leur, l’adresse. 6 Avenue…

Il raccroche.

• C’est gentil de les avoir invités, ils sont tous les deux professeurs d’anglais dans notre lycée.
Lui est sympa, mais c’est un toutou derrière sa femme qui est une mégère qui pense qu’elle a toujours raison et est immangeable.
Nous faisons tout pour les éviter, mais depuis qu’ils se sont payé un « motor-home » comme elle dit dans son anglais parfait, ils nous collent dès que nous nous déplaçons.
Nous sommes partis depuis samedi, mais un coup, de chance, une réunion de famille les empêchait de démarrer avec nous.
Bref, nous assumerons.

Tout le monde est au café lorsque nous descendons. Nous leur annonçons la visite des deux collègues de nos amis ce soir vers dix-neuf heures.
Anne a récupéré Sindy qui me fait la fête quand elle me voie.

• Allez, bougeons-nous, une équipe va faire les chambres et les salles d’eau, une autre s’occupe de la salle et de la cuisine.

En dix minutes, tout est fait.

• Je vous propose d’aller à Royan, visiter la ville...





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